Au commencement, il y a la « genèse des simulacres » : commutabilité du beau et du laid dans la mode, de la gauche et de la droite en politique, du vrai et du faux dans tous les messages des médias et des réseaux sociaux ; de l'utile et de l'inutile au niveau des objets, de la nature et de la culture à tous les niveaux de la signification.
Tous les grands critères humanistes de la valeur, ceux de toute une civilisation du jugement moral, esthétique, pratique, s'effacent devant notre système d'images et de signes.
La société de consommation abolit la distinction entre le nécessaire et l'accessoire ; elle crée sans cesse de nouveaux besoins. En cela, c'est elle, et nulle force subversive, qui instaure au coeur du système l'échange symbolique.
Ce duel symbolique conduit à la ruine de l'un des participants.
Psychologie des foules est un livre de Gustave Le Bon paru en 1895.
Il s’agit d’un ouvrage de référence concernant la psychologie sociale, dont les théories sont encore discutées aujourd’hui.
Ce livre marqua un tournant dans la carrière du "célèbre docteur".
Gustave Le Bon montre dans cet ouvrage que le comportement d'individus réunis n'est pas le même que lorsque les individus raisonnent de manière isolée — il explique ainsi les comportements irraisonnés des foules.
Le 8 juin 1978, Alexandre Soljenitsyne, est invité à l’Université de Harvard pour prononcer le discours de clôture de l’année universitaire.
Les Américains s’attendent à ce qu’il embrasse le « monde libre ».
Mais le dissident soviétique à la renommée internationale, développe dans son discours, contre toute attente, une critique virulente de l’individualisme occidental et regrette la chute spirituelle de notre civilisation, ainsi que sa décadence.
« Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest aujourd’hui pour un observateur extérieur » Prononce –t- il. Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement (…) Face aux gouvernements puissants et aux forces menaçantes, face aux agresseurs et à l’internationale de la terreur, Faut-il rappeler que le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant coureur de la fin ? »
Le hasard nous rend meilleurs.
Avec ce provocant paradoxe, Taleb nous offre un enseignement d'une portée révolutionnaire: comment non seulement surmonter les cataclysmes de notre temps - ces Cygnes Noirs qui fondent sur un homme, une culture, une civilisation, les bouleversent et les réduisent à néant -, mais en faire une source de bienfaits.
De même que le corps humain se renforce a mesure qu'il est soumis au stress et a l'effort, de même que les mouvements populaires grandissent lorsqu'ils sont réprimés, de même le vivant en général se développe d'autant mieux qu'il est confronté à des facteurs de désordre, de volatilité ou à quoi que ce soit à même de le troubler.
Cette faculté à non seulement tirer profit du chaos mais à en avoir besoin pour devenir meilleur est l'Antifragilité .
Promenant son lecteur dans les rues tonitruantes de Brooklyn, les chemins de la pensée antique ou les méandres des neurosciences avec autant d'aisance, ce livre laisse une question en suspens: êtes-vous prêt à devenir antifragile ?
OBSERVATION PRUDENCE REFLET
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